Confinement : 7 leçons pour être l’entreprise de demain

Publié le 29 mai 2020

Quelles leçons devons-nous tirer de la crise du Covid 19 et du confinement ? Pour nous, s’il y a bien une leçon : c’est le retour aux valeurs. Pour faire face à la crise sanitaire et économique, l’entreprise de demain doit se recentrer sur l’essentiel : le sens, l'authenticité, l’humain. Et c’est sur cette base fondamentale qu’elle doit revoir son rapport aux autres, ses relations avec ses équipes, ses clients et la société, son positionnement stratégique et sa présence digitale. 

 

Tout le monde est impacté par cette crise : la maladie n’a pas de frontières ethniques, culturelles, ou nationales. 

Pareil pour les entreprises : les grandes comme les petites, sont touchées, dans des proportions différentes selon leur secteur d’activité. 

Chez Hippocampe, on tire des leçons de cette crise. Une crise qui renforce encore plus l’image que l’on se fait de l’entreprise de demain. 

 

L’entreprise de demain, une entreprise humaine et solidaire, fondée sur des valeurs authentiques, une mission qui fait sens et un fort engagement RSE.

 

 

 

On vous partage notre expérience du confinement et nos réflexions pour construire l’entreprise de demain, une entreprise qui s’engage et pour qui et avec qui on veut travailler. 

 

Plan de l’article :

Leçon fondamentale : les valeurs, socle de l’entreprise de demain

Organisation de l’entreprise autour de ses valeurs

Cohérence entre image de marque et valeurs de l’entreprise

 


Leçon fondamentale : les valeurs, socle de l’entreprise de demain

La quasi-totalité de la population mondiale s’est retrouvée presque du jour au lendemain confinée, et à faire face à une période exceptionnelle et stressante.

Cette pause inattendue nous pousse à revoir notre mode de fonctionnement, notre organisation à distance et notre relation au monde, au travail, aux entreprises. 

Un temps de réflexion inédit pour se recentrer sur l’essentiel : les valeurs

Pour nous, ce qui fera le succès et la pérennité de l’entreprise de demain, ce sont ses valeurs. Des valeurs authentiques et humaines

Des valeurs qui font sens, non seulement pour les dirigeants de l’entreprise, mais aussi pour ses collaborateurs, ses clients et la société. 

Les valeurs constituent un véritable socle pour l’entreprise, la base de toutes ses actions.

Des valeurs propres à votre entreprise et qui reflètent votre culture et soutiennent votre positionnement

Des valeurs que vous avez envie d’incarner. Des valeurs qui ont une réelle signification pour vous et pour les autres.

Des valeurs engageantes ! 

Et une fois ces valeurs posées, il s’agit de les incarner et de rester cohérent ! 

 

Allez à l’essentiel, au plus authentique selon votre marque. 

 

 

Après on pense qu’il y a des valeurs cruciales et communes à tous, comme le respect des uns et des autres, la transparence, la confiance, la bienveillance (entre autres).

Chez Hippocampe, ce sont des valeurs que l’on applique au quotidien, crise ou pas. Parce que l’on ne sait pas faire autrement 😊  

  • Le respect : de nos clients, de nos partenaires, de la terre, de notre communauté, de la société, de nos hippocampes. 
  • La transparence : sur toutes nos actions internes ou externes.
  • La générosité : envers toute personne avec qui l’on interagit. On aime la notion de famille chez Hippocampe. 

 

On vit ces valeurs. C’est aussi ce que nos collaborateurs et nos clients ressentent en travaillant avec nous. 

Et c’est pour ça qu’à notre échelle, on aime les transmettre. 

 

Organisation de l’entreprise autour de ses valeurs

Tout est à remettre à plat et en perspective : relation avec les salariés, organisation du travail, rapport au travail, nouvelles manières de travailler, management, quête de sens, engagements sociétaux !

 

Leçon n°1 : Renouer avec l’humain 

Il avait déjà commencé. Mais cette crise a accéléré le retour vers l’humain.

Le relationnel et l’empathie sont davantage mis au centre.

Deloitte en parlait déjà dans son étude sur les Tendances RH 2019. L’entreprise doit devenir sociale pour continuer à exister. Une entreprise sociale, c’est une entreprise tournée vers l’humain.

Elle cherche à optimiser l’expérience humaine qu’elle propose à ses collaborateurs, mais aussi à ses partenaires, ses clients, et à la société de manière plus générale. 

Il s’agit pour les entreprises de créer ou de recréer le lien avec leurs collaborateurs, leurs partenaires, leurs clients et leurs communautés. Un lien fort et authentique. 

Pas juste pour faire joli, mais parce que l’entreprise se soucie véritablement de son impact au niveau humain. 

Des entreprises, par exemple qui ne cherchent pas à tirer parti un maximum des compétences de leurs collaborateurs pour les « jeter » ensuite. 

 

L’entreprise de demain est donc humaine avant tout.

 

 

Leçon n°2 : Retrouver du sens, s’engager au niveau sociétal et environnemental

Ce n’est pas nouveau. 

Le public attend des entreprises qu’elles aient du sens. Qu’elles endossent un rôle sociétal et qu’elles prennent des engagements solidaires et environnementaux. 

Pour de plus en plus de salariés, et pas seulement les jeunes générations, la recherche de sens est essentielle.

C’est un facteur d’attractivité et de rétention des talents de plus en plus important. Et ils ont bien en tête que c’est en grande partie la responsabilité de l’entreprise de leur offrir du sens

Une quête de sens à deux niveaux : 

  • Du sens dans nos jobs : qui passe notamment par des missions inspirantes, satisfaisantes sur le plan émotionnel, et la sensation de contribuer utilement aux objectifs de l’entreprise,
  • Du sens pour la société et l’environnement : actions et engagements RSE qui ont un impact positif sur le monde.

 

Une entreprise qui fait sens, c’est une entreprise dont la mission apporte de la valeur ajoutée aux autres, tout en restant solidaire de l’humain et de la planète

 

 

Même si la protection de l’environnement n’est pas l’activité première d’une entreprise, elle doit s’engager pour y contribuer directement ou indirectement.

Elle peut notamment diminuer l’impact de sa pollution numérique, elle peut proposer à ses collaborateurs de travailler un jour dans la semaine avec une association (comme Vendredi), ou encore reverser un pourcentage de son chiffre d’affaires à des associations (comme 1% for the Planet)… 

Bref, il existe des tas de manières pour les entreprises de s’investir, de choisir des engagements à leur échelle et qui correspondent à leurs valeurs. 

Par exemple pour la crise du Covid 19, notre équipe s’est engagée auprès de nos clients, et notamment les associations touchées de plein fouet par la crise (comme Monalisa, Médecins du Monde et le Gnis).

Comment ? En les accompagnant sur le développement d’outils digitaux en urgence pour aider leurs utilisateurs à faire face à la crise. 

 

En tout cas, l’entreprise de demain, tous secteurs confondus, ne peut plus ignorer son rôle sociétal et environnemental

Et pourquoi donc ? Parce que l’entreprise est un vecteur de changement sociétal. Si l’on veut que le monde tourne plus rond, que la pollution et les inégalités diminuent, les entreprises doivent obligatoirement s’engager. 

C’est ce que Pierre Louette, PDG du pôle médias de LVMH, confirme dans son interview dans Stratégies : “Les entreprises seront l’un des acteurs de l’après pour favoriser l’émergence d’une société plus responsable.” 

Et il n’est pas le seul à le penser !

 

Leçon n°3 : Revoir son organisation et ses méthodes de travail

Le futur du travail et son organisation sont déjà présents dans le monde du travail : télétravail, flex office, horaires flexibles…

La crise du Covid 19 a juste tout accéléré. 

Le nombre de télétravailleurs en France a bondi avec le confinement. Selon le Baromètre des économies régionales réalisé par Odoxa : 

  • 1 français sur 5 en moyenne pratique le télétravail,
  • Selon le métier, la tendance diffère : 32% de télétravailleurs dans les métiers de service contre 5% dans le transport,
  • Pareil pour les régions : 41% de télétravailleurs en Ile-de-France contre 19% en Bretagne.

 

Ces chiffres mettent en avant les inégalités des travailleurs français face au travail à distance.  

Une autre inégalité aussi, la préparation au télétravail : certain sont plus rodés que d’autres, comme les freelances notamment ou les salariés habitués au travail en remote.

Pour les autres, il a fallu apprendre à organiser leur travail à distance en l’espace de quelques jours. Ça a été un test grandeur nature et un véritable apprentissage. 

Ces pratiques pourront être réemployées par la suite. Voire poussées encore plus loin, par exemple en éliminant presque totalement ses bureaux, comme décide de le faire LiveMentor.  

Et puis pour les chefs d’entreprise qui n’étaient pas en faveur du télétravail avant, ça les aura peut-être convaincus ? 

Beaucoup ont appris à le mettre en place : organiser le travail en équipe dispersée et gérer et motiver leurs troupes à distance. On ose imaginer qu’ils seront plus enclins à poursuivre cette pratique quand tout reviendra un peu à la “normale”.  

Et pourquoi pas repenser totalement leur manière de travailler et réinventer leurs espaces de travail ?

Comme le dit joliment Pierre Louette : “Je me laisse aller à l’imagination d’une organisation et d’un espace de travail dans une optique radicalement différente de tout ce que j’ai connu jusqu’à maintenant”.  

Plein de nouvelles idées et d’inspirations ont donc germé dans les esprits pour organiser la vie autour et au sein du travail autrement. 

Le changement de cadre et cette pause dans nos rythmes de vie nous poussent en effet à réfléchir : que veut-on faire de notre vie, quel sens veut-on lui donner, avec qui, pour quelles causes et comment veut-on travailler ?

Cette pause nous invite à revoir notre équilibre entre vie professionnelle et personnelle. Voire à reconsidérer toute la logique autour du travail. 

Finalement, si le travail nous inspire, nous rend heureux et nous permet de nous accomplir, pourquoi devrait-il y avoir une limite si distincte entre pro et perso ?

Pourquoi devrait-on obligatoirement suivre un cadre et des horaires imposés ? Pourquoi ne pourrait-on pas travailler quand on veut, en suivant notre rythme personnel et notre motivation ? 

Une réflexion que l’on vous invite à poursuivre avec le Billet du Futur n°19 de Samuel Durand, qui aborde le sujet de manière personnelle et en toute transparence. 

 

Leçon n°4 : Accompagner les changements dans l’entreprise

“A quand le retour à la normale ?” Autant vous lire dire tout de suite, on pense qu’il n’y en aura pas vraiment 😊  

Déjà, le retour à la “normale” ne va pas se faire en un claquement de doigts. Il faudra tenir compte des gestes barrières pour se protéger et pour protéger les autres. Les déplacements seront plus limités et nous n’aurons pas la liberté de faire tout ce que l’on veut. 

Mais même une fois la crise sanitaire passée, demain ne sera plus pareil. Au travail, que ce soit sur le lieu de travail ou en télétravail, on doit accepter le fait que ce ne sera plus comme avant. 

 

Nous on n’espère pas un retour à la “normale”, mais un retour à mieux.

 

 

Si l’on considère le court-moyen terme, et notamment la période de déconfinement (on espère quand même qu’elle ne durera pas trop longtemps), les entreprises doivent intégrer tous les changements sociaux et organisationnels que le virus implique. 

Le déconfinement représente des enjeux à plusieurs niveaux pour les entreprises : 

  • Niveau humain (et surtout psychologique) : apporter un soutien psychologique à leurs collaborateurs pour les aider à “digérer” le confinement ou à ceux qui ont eu le covid. Les aider à accepter les changements, comme la distanciation sociale… Être à leur écoute et trouver ensemble des solutions pour créer de nouvelles manières de travailler ensemble.

 

  • Niveau transparence : la période de confinement a été propice aux réflexions et au besoin de changement. Être à l’écoute de vos collaborateurs, les rassurer en leur montrant que leurs réflexions ont été non seulement comprises, mais qu’elles seront aussi appliquées sur la durée.

 

  • Niveau organisationnel : intégrer les mesures de sécurité et les gestes barrières, revoir l’organisation de l’entreprise pour continuer à produire en toute sécurité. La reprise doit se faire oui, mais pas au détriment de la santé des employés. Donc le plus important, c’est d’agir pour préserver ses collaborateurs d’abord, et ensuite, pour faire repartir sa boîte. De toute manière, l’un ne va pas sans l’autre. 

 

Les entreprises doivent prendre en compte tous ces éléments pour faciliter le retour de leurs collaborateurs et éviter tout dérapage. Notamment l’anxiété qui, non évacuée, peut créer des tensions et provoquer des réactions disproportionnées (comme l’explique Nadège Barbe, dans son entretien avec Interpreneurs).

Donc il s’agit pour l’entreprise de se préparer, non seulement à l’après pandémie, mais aussi et surtout à la suite, au monde de demain. 

 

Cohérence entre image de marque et valeurs de l’entreprise

Le discours vis-à-vis des clients, des prospects, des fournisseurs, et même du grand public, doit faire écho au discours interne. 

 

La stratégie de demain de l’entreprise, c’est la cohérence entre ses valeurs et son image externe.”

 

 

Cette cohérence est en fait un socle. On doit avoir une image unique de l’entreprise, que ce soit en interne ou en externe.

La dichotomie entre ces deux images, c’est comme un décor en carton-pâte : tout beau à l’extérieur, tout creux dedans.  

Les valeurs internes de l’entreprise, son mode de fonctionnement, son positionnement stratégique et sa communication doivent être alignés. 

Et c’est encore plus vrai sur le web, où l’on peut tenter de déguiser la vérité et de ne pas être honnête sur ses valeurs.

Mais faut pas croire : le manque d’authenticité, ça se repère !

 

Leçon n°5 : Revoir son positionnement stratégique pour l’après 

Il s’agit pour l’entreprise, qui ne l’aurait pas encore fait, de revoir son positionnement stratégique en fonction de ce qu’on attend d’une entreprise, son utilité en temps de crise, ses valeurs. 

 

Pour nous la meilleure approche stratégique, c’est l’humain.

 

 

L’humain, c’est l’approche que l’on a depuis qu’on a créé la boîte. L’empathie est gravée dans notre ADN.

Mais là, avec ce qu’il se passe en ce moment, on se rend compte que c’est primordial. On ne peut plus faire autrement en fait ! 

 

Votre positionnement doit reposer sur des valeurs humaines

Placez l’utilisateur au centre de votre approche. Pensez à l’humain derrière le business, que ce soit votre équipe ou vos clients. 

S’il y a bien une chose que l’on vous recommande, c’est de vous mettre à la place de vos clients. Regardez en quoi vous pouvez leur être utile pour les aider à se remettre à flot et affronter la crise économique.

Mettez-vous à leur place en les interrogeant un maximum sur leurs problèmes, leurs émotions, ce qu’ils attendent de vous. Adaptez votre positionnement, votre stratégie de communication et votre discours en conséquence. 

Bref, c’est un peu le principe de la méthode des personas

Gardez aussi en tête que vos clients et vos prospects vivent le même moment historique que vous. Comme vous, ils vont devoir traverser la crise. Vous partagez une histoire commune et quelle histoire ! Une occasion de vous rapprocher… et d’être plus empathique

 

Leçon n°6 : Avoir une présence digitale unique et authentique

Le confinement a bouleversé les habitudes digitales de la plupart d’entre nous. 

D’après le Digital Report 2020 (revisité par le Covid 19) de We are Social et Hootsuite, les mesures de confinement sont clairement corrélées avec l’augmentation de l’activité digitale dans le monde.

Ce que dit l’étude sur cette activité digitale pendant le confinement : 

  • Une augmentation de l’utilisation des appareils numériques : les smartphones et mobiles de 76%, les ordinateurs portables de 45%, les ordinateurs fixes de 32% et les tablettes de 22%.

 

  • Une augmentation de l’activité digitale : 35% du temps passé à lire les news, 29% à regarder des films et des séries sur les sites de streaming, ou encore 24% à utiliser des services de messagerie et 23% à utiliser des réseaux sociaux.

 

  • Un gros impact niveau e-commerce et comportements d’achats en ligne : augmentation forte des ventes en ligne pour les “produits du confiné” (+120% pour les fournitures de la maison, +77% pour les équipements sportifs ou encore +76% pour les supermarchés).  

 

Avec le bouleversement des comportements digitaux et les nouvelles habitudes digitales (qui risquent de durer au-delà de la crise), il devient vital d’avoir une présence digitale efficace.

Et plus qu’une présence digitale, une véritable stratégie et un positionnement digital unique

Pour les entreprises qui n’étaient pas présentes sur le web, c’est un changement radical. 

Les entreprises ayant un site internet, mais pas très à l’aise avec le digital, se sont rendues compte qu’avoir un site ne suffit pas. Pour faire face à la crise, il faut en faire plus. 

En adoptant notamment une stratégie qui s’étend à tout leur écosystème digital.

Il faut aussi adapter votre stratégie marketing au contexte de crise. Twister vos messages, le ton employé, les sujets abordés (entre autres) pour raisonner avec ce que vivent vos cibles, les obstacles et les difficultés qu’elles traversent. 

Attention à ne pas non plus abuser de la situation et en faire trop. Pire encore : de se survendre et de ne plus être honnête avec vos cibles.

Attention à vos valeurs !

Niveau stratégie de communication, tout est à revoir : la stratégie webmarketing, le planning éditorial, les contenus… Vos plans pour 2020 (et pas que) sont à repenser ! 

Super…  Oui mais tant mieux quelque part. Ça va peut-être forcer pas mal d’entreprises à faire plus de contenus de qualité, tournés vers l’humain et qui apportent de la valeur. C’est ce dont on a besoin en ce moment. 

Ce que l’on retient donc : optimiser sa présence sur le web oui, mais pas au détriment de ses valeurs. 

Restez authentique, restez vous-même ! 

 

Allez à l’essentiel, à vos valeurs, à ce qui touche réellement vos cibles. 

 

 

Leçon n°7 : Devenir l’entreprise de demain 

Cette crise accélère les changements. On verra de plus en plus d’entreprises sociales, solidaires et engagées pour l’environnement.  

De nouveaux types d’entreprises apparaissent. Par exemple Time for the Planet révolutionne le concept même des entreprises, en créant la première société commerciale à but non lucratif

Les dividendes qu’elle verse à ses actionnaires ? La diminution de CO2 dans l’air, moins de plastique dans les océans, moins de pollution numérique, …, en fonction des projets qu’elle finance. 

En tout cas, de plus en plus de monde se rend compte qu’il existe des alternatives aux entreprises qui ne se préoccupent ni de nous, ni de notre planète. Le frein reste que tout le monde n’a pas toujours le choix de travailler pour des entreprises éthiques.

Donc si plus d’entreprises “RSE-friendly” se créent, il y aura du choix. On assistera à un réel basculement vers ce type d’entreprise, au détriment des autres. 

Toute l’économie sera bien obligée de se tourner vers ces modèles plus humains et bienveillants. 

Demain, on soutient les entreprises éthiques qui ont de vrais engagements sociétaux, des valeurs et qui les appliquent. 

Demain, on n’accepte plus les entreprises qui font semblant, qui traitent mal leurs collaborateurs, leurs partenaires et leurs clients. 

Demain, on n’accepte plus les entreprises qui veulent faire du profit pour faire du profit, jusqu’à épuiser toutes les ressources et creuser les inégalités. 

 

Cela bouleverserait totalement la manière et la raison d’être d’une entreprise

L’entreprise de demain : une entreprise qui dit qu’elle s’engage à respecter ses collaborateurs et la planète, et qui le fait vraiment.

Pas des paroles en l’air, mais des convictions au service de ses actions. 

 

Agir pour l’intérêt commun, voilà qui fera ressortir les entreprises de demain.

 

 

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